°~{Jardins de la Demeure}~°

Une vaste étendue ou poussaient en harmonie fleurs et arbustes; dans l'air du lieu s'entremêlaient odeurs de roses , de pensées, d'iris..... Lieu d'ultime détente gorgé de soleil ou déja; la jeune fille gracieusement assise sur la margelle d'un puit se prélassait.

Une très légere brise balayera les jardins de la demeure de la chaste déesse. Ce courant d'air doux faisant bruisser et s'entrechoquer les feuille dans une douce mélopée parvenant aux oreilles de la déesse. Aurait-il été un meilleur lieu pour elle en cet instant que celui ci? Ce n'est en tout cas pas ce qui lui semblait. Alors qu'elle humidifiait doucement ses levres, son indexe viendra replacer l'une de ses meches soyeuse voletant sous l'effet du doux souffle.

Soudain, un pas viendra troubler cette paix, et par la même certainement la bonne humeur jusque la présente de la déesse.

"Que...?!!"

Qui Pouvait bien oser troubler le calme qui la seconde a peine qui précedait, berçait encore l'atmosphere? La réponse ne tardera pas. La belle déesse se redressant; rouvrant les yeux avec un calme froid.
En face d'elle se trouvait une servante...celle de tout à l'heure qui, timidement s'avançait toujours vers la déesse arrivant bientot a sa hauteur, genée et rougissant elle inclinera la tête.
La déesse la regardera avec agacement .

"Eh bien? Qu'est-ce Levy?.... "~~son ton, passé de la douceur a la froideur montrait son mécontentement d'etre ainsi dérangée~~

"Ô déesse..pardonnez moi de cette intrusion, mais celle-ci jamais n'aurais eu lieu sans une raison pressante. Et justement le fait qui m'ammene est un homme venu vous voir."

Le visage de la jeune fille ne s'en fera que des plus sombres; ses sourcils se fronçant.€lle lui fera désormais dos faisant quelques pas vers un rosier prenant l'une des douces fleur entre ses doigts; ceux-ci évitant agilement les épines...

"Renvoie le je te prie Levy...Et transmet lui simplement de ma part que je lui conseille de se retirer sans quoi.....enfin tu saura quoi lui dire je te fais confiance."

Après ces paroles, d'un geste délicat de la main, la déesse congediera celle qui était venue jusque la.L'aura de la déité par ce désagrément s'etait changé; cette soudaine modification affectant tout le lieu.

Elle Reprendra son chemin a travers les jardins après le départ de la servante; tentant de se reimpregner de la sérénité offerte par les par-terres formés a l'effigie de l'astre lunaire.

~~Le cosmos de la déesse se refera emprunt de calme ; le ciel qui surplombait la demeurs se dégageant à nouveau influencé par cette humeur.
Elle s'arretera a présent pres d'un par terre d'arômes , les sentant un fin sourire reparraissant sur son visage...

Elle ressongera à l'annonce de la visite faite par Levy.

* qui pouvait-ce donc bien etre?*

En effet, elle n'avait nul regret de l'avoir repoussé.un homme qui osait venir en ces lieux et demander la déesse devait être soit bien stupide, soit bien mal informé. c'était du moins son avis; cependant par curiosité, elle aurait bien voulu qui il était.
Mais bon, après tout sans doute était-ce un inconnu.Elle se résonnera. quel interet aurait de toute maniere bien bien lui apporter cette visite masculine? Elle soupirera. Les hommes étaient si rustres...a part son cher Apollon...où était-il d'ailleurs? pouvait-il se trouver éveillé à cet instant?

A la pensée de son cher frère, l'oeil de la jeune déesse se fera brillant...une larme? qui sait...elle? pleurer pour un homme? oui, s'il s'agissait du dieu de l'astre solaire. .

~*~

Elle balaiera les jardins de son regard incisif avant même de soupirer se figeant. Elle appreciera encore un moment le calme des jardins puis s'en retournera d'un pas lent vers sa demeure.. s'arrêtant au passage prèes devant une gerbe de roses tremieres ses yeux les contemplant avec delice; ce moment prolonngeant le calme et la pleinitude offerts par cette promenade dans les jardins...

Pleinement détendue de ce répis; elle atteindra enfin sa demeure songeuse de ce qu'elle allait bien pouvoir faire,à présent...Cet journée d'éveil, malgré qu'elle ait été vaguement troublée par l'homme qui s'était présenté lui demandant audiance, sembler plutot bien s'annoncer... enfin... l'avenirrestait tout de meme imprevisible à laDéesse de l'Astre Luaire qui, déjà, disparessait à travers une grande porte d'ébene.

Le vent agitait toujours le jardins; les bruissement des feuilles se prolongeant tandis que déjà l'aura de la déesse s'éloignait; laissant la belle étendue à sa sérénité.